avez-vous ressenti la même chose?
Modérateur : Régents
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- monstre des falaises
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avez-vous ressenti la même chose?
bonjour, je suis nouveau et j'ai lu deux fois la trilogie de " la croisée des mondes"
et je voudrais savoir si vous avez ressenti la même chose:
Dans le troisième tome lorsque Lyra doit se détacher de Pan j'ai ressenti comme le fil qui se détachait et j'ai eu mal au coeur comme si j'avais moi-même un fil! Est-ce que cela vous est-il arrivé?
merci de me répondre
et je voudrais savoir si vous avez ressenti la même chose:
Dans le troisième tome lorsque Lyra doit se détacher de Pan j'ai ressenti comme le fil qui se détachait et j'ai eu mal au coeur comme si j'avais moi-même un fil! Est-ce que cela vous est-il arrivé?
merci de me répondre
tu es né poussière, tu mourras poussière
- Niitza
- Princesse
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- Enregistré le : sam. 11 sept. 2004, 20:14
- Localisation : Enfermée dans un donjon
Tiens, moi aussi! Je pense que c'est parce que ce moment est si horrible qu'on s'imagine obligatoirement qu'on est à la place de Lyra...
Donc, on imagine qu'on nous enlève notre daemon! Et ca doit être ca
Donc, on imagine qu'on nous enlève notre daemon! Et ca doit être ca
Niitza,
Princesse à ses heures perdues, gardée dans un donjon paumé par Fenouil le Chaton Fantôme, Glutonus Maximus le Lapin Extraterrestre Macrophage et Vérité le Dragon, codonjontaire d'Anne-Emmanuelle et du fantôme bleu Arthur qui hante le coin.
Princesse à ses heures perdues, gardée dans un donjon paumé par Fenouil le Chaton Fantôme, Glutonus Maximus le Lapin Extraterrestre Macrophage et Vérité le Dragon, codonjontaire d'Anne-Emmanuelle et du fantôme bleu Arthur qui hante le coin.
- albator9188
- Erudit(e)
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- Enregistré le : dim. 28 nov. 2004, 16:53
- Localisation : Dans l'est, oui, là où il pleut et où y'a du brouillard ^^
ok
je me souviens pas avoir "senti" le fil mais ce qui est sûr, c'est que pullman raconte assez bien pour qu'on ressente ce qui arrive aux personnages....
Il y a du bien en chacun de nous. Il suffit de le trouver et de le ramener à la lumière. (David Almond)
Mourir n'est rien, ne pas vivre est affreux. (Victor Hugo)
On pleure toujours un peu quand on s'est laissé apprivoiser... (Saint Exupéry)
Mourir n'est rien, ne pas vivre est affreux. (Victor Hugo)
On pleure toujours un peu quand on s'est laissé apprivoiser... (Saint Exupéry)
Moi aussi ca m'a fait cet effet là. comme si on tirait sur mon coueur ou comme s'il etait serré...
Je pense que ca vient de l'excellente ecriture de pullman (et de la traduction aussi ; ca ne m'autrait pas fait d'effet en anglais !!!) ca doit etre tres satisfaisant pour un auteur de savoir que les lecteurs ressentent la meme chose que les personnages...
Je pense que ca vient de l'excellente ecriture de pullman (et de la traduction aussi ; ca ne m'autrait pas fait d'effet en anglais !!!) ca doit etre tres satisfaisant pour un auteur de savoir que les lecteurs ressentent la meme chose que les personnages...
Qu'est-ce que l'homme dans l'Univers ?
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Un milieu entre rien et tout
Pascal
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la " guillotine à daemon "
moi c quand Mme Coulter coupe les fils entre les daemon et les enfants que j'ai eu l'ession qu'on me coupai le coeur en deux...
Avez-vous ressenti la mm chose ?
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- Earwen
- Archange
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- Enregistré le : sam. 21 sept. 2002, 10:38
- Localisation : 221B Baker Street
Moi, je n'ai pas vraiment ressenti quelque chose, à ce passage là. Mais par contre, j'ai imaginé Lyra et Pan, chacun dans une cage, séparés par cette grande lame, et j'ai "vu" les nombreux fils qui les reliaient... Comme des fils de "pensée"...
La médiocrité n'admet rien de supérieur à elle-même, mais le talent reconnaît instantanément le génie. Arthur Conan Doyle
- DarkHvn
- Ange
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Je voyais moi aussi les fils qui relient le personnage à son dæmon.
Lorsque Lyra doit abandonner Pan sur le rivage, j'ai eu l'impression de voir ce fil qui s'étirait puis finalement qui se brisait. Et j'ai cru sentir comme quelque chose qui s'arrachait de mon coeur.
Et c'est vrai, comme le dit Rey, que c'est intéressant de voir que les lecteurs ressentent la même chose que le personnage. L'écriture doit être vraiment forte...
Lorsque Lyra doit abandonner Pan sur le rivage, j'ai eu l'impression de voir ce fil qui s'étirait puis finalement qui se brisait. Et j'ai cru sentir comme quelque chose qui s'arrachait de mon coeur.
Et c'est vrai, comme le dit Rey, que c'est intéressant de voir que les lecteurs ressentent la même chose que le personnage. L'écriture doit être vraiment forte...
"Je me croyais riche d'une fleur unique, et je ne possède qu'une rose ordinaire. Ca et mes trois volcans qui m'arrivent au genou, et dont l'un, peut-être, est éteint pour toujours, ça ne fait pas de moi un bien grand prince." Et, couché dans l'herbe, il pleura.
"Personne ne vous a apprivoisé et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes belles mais vous êtes vides. On ne peut pas mourir pour vous."
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- Sharra
- Ours
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C'est vrai que durant le passage où Lyra se sépare de son daemon, on ressent exactement ce qu'elle doit ressentir : je pense que c'est dû autant à l'écriture, à la traduction et au fait qu'on est très proche de Lyra à ce moment-là et qu'on s'imagine à sa place. Sinon, quand les enfants sont carrément séparés de leur daemon à Bolvangar, je n'ai pas ressenti la même chose, car c'est tout à fait différent : le lien est coupé, et on ressent plus une impression de vide immense, d'angoisse, et on voit presque le fil qui se brise sous la lame...
~Si la connerie était une fleur, le monde serait couvert de tulipes~