(BD) La Tour des Anges : vos avis
Posté : mar. 20 nov. 2018, 22:07
J'inaugure donc ce sujet dédié au premier volet de l'adaptation BD du second volet de la trilogie...
Stéphane Melchior est toujours aux manettes de l'adaptation, secondé cette fois par Thomas Gilbert aux dessins, afin de donner une touche visuelle relativement différente de celle que Clément Oubrerie offrait aux Royaumes du Nord. Les dessins évoluent donc, le style ne me convainc pas toujours mais le ton et les choix visuels sont pourtant plaisants, et si les personnages changent de visage (Mrs Coulter repousse plus qu'elle ne charme, il faut bien avouer) ce n'est en soit pas bien grave et ne gêne pas le plaisir de la (re)lecture. L'histoire est respectée, des réappropriations personnelles émaillent le récit ici et là, souvent agréables (et tant pis si Pan passe parfois plus pour le petit-animal-rigolo-de-Disney que pour un daemon). Will, Mary et Sir Charles font leur entrée dans le jeu, et la bonne nouvelle c'est que le récit se donne le temps. 90 pages pour ce qui s'annonce être le premier tiers de l'adaptation. On se promène dans Ci'gàzze, différente de mon imaginaire mais joliment plaisante et crédible toutefois, riche de ses pies, de ses grands bâtiments, de son intemporel remblais de bord de mer et de son grisant vide.
A vrai dire, cela fait super plaisir, en fait, de découvrir une vision graphique du second tome de la trilogie.
Alors évidemment, Will a encore tous ses doigts et Lyra son aléthiomètre, mais on nous a parlé de Stan Grumann et d'un artéfact puissant, de Spectres et d'un nom secret. Alors vivement la suite.
Stéphane Melchior est toujours aux manettes de l'adaptation, secondé cette fois par Thomas Gilbert aux dessins, afin de donner une touche visuelle relativement différente de celle que Clément Oubrerie offrait aux Royaumes du Nord. Les dessins évoluent donc, le style ne me convainc pas toujours mais le ton et les choix visuels sont pourtant plaisants, et si les personnages changent de visage (Mrs Coulter repousse plus qu'elle ne charme, il faut bien avouer) ce n'est en soit pas bien grave et ne gêne pas le plaisir de la (re)lecture. L'histoire est respectée, des réappropriations personnelles émaillent le récit ici et là, souvent agréables (et tant pis si Pan passe parfois plus pour le petit-animal-rigolo-de-Disney que pour un daemon). Will, Mary et Sir Charles font leur entrée dans le jeu, et la bonne nouvelle c'est que le récit se donne le temps. 90 pages pour ce qui s'annonce être le premier tiers de l'adaptation. On se promène dans Ci'gàzze, différente de mon imaginaire mais joliment plaisante et crédible toutefois, riche de ses pies, de ses grands bâtiments, de son intemporel remblais de bord de mer et de son grisant vide.
A vrai dire, cela fait super plaisir, en fait, de découvrir une vision graphique du second tome de la trilogie.
Alors évidemment, Will a encore tous ses doigts et Lyra son aléthiomètre, mais on nous a parlé de Stan Grumann et d'un artéfact puissant, de Spectres et d'un nom secret. Alors vivement la suite.