Alors qu’il écrivait La Belle Sauvage, il a fait le serment de ne plus se couper les cheveux avant d’en avoir fini. “C’était de la superstition, en dit-il, ou un marché avec les muses, quelque chose du genre. Si je ne me coupe pas les cheveux, le livre sera comme il faut.” Il a toujours lesdits cheveux, précise-t-il, enfermés dans un sac congélation. “Je les donnerai à la Bodleian Library, ajoute-t-il, en référence à la bibliothèque académique de l’Université d’Oxford.

La dame nous a expliqué qu'au départ ils ont surtout des livres, plus de 14 millions de références à ce jour, puisqu'ils font partie de ceux qui reçoivent aussi chaque publication de magazine, comme à la BNF.
Mais que certaines personnes leur donnent des objets car ils savent qu'ainsi ils seront bien conservés. Et qu'ils ont des objets très bizarres : un crocodile empaillé notamment, ainsi qu'un... téton de sorcière. Car le donateur avait besoin de l'autre téton et voulait garder celui-ci en cas de secours.

