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Pour philosopher sur l'oeuvre de Pullman.

Modérateur : Régents

Zeff
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Message par Zeff »

Chère Sally... Ayant conscience de ton illumination supérieure en metière de philoophie, j'aimerais recueillir ton avis sur cette question : "Mieux connaître l'histoire permet-il à l'Homme de mieux exercer sa liberté?"
J'aimerais savoir comment tu aborderais ce sujet avant de me lancer définitivement...
Je comptais utiliser l'analogie histoire/monde expérience/homme, la fondation de la pensée historique avec Hérodote et Thucydide, la notion de hasard selon Cournot (" rencontre de séries de causes indépendantes"), l'illusion de liberté fournie par l'analogie passé/présent (ex: Révolutionnaires français qui se réfèrent aux démocraties antiques), la transformation de la notion de science historique après l'Esprit des lois de Montesquieu ("intuition compréhensive" d'une unité rationnelle et d'un progrès constant dans l'histoire)...
Désolé de t'embêter avec tout ça, surtout que j'ai tout balancé en vrac, mais je voudrais ton avis... s'il te plaît !
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Sally
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Message par Sally »

Je ne pense malheureusement pas avoir reçu l'illumination ! :eek: Mais si je peux t'aider avec plaisir. :)
D'emblée, je suis sûre à cent pour cent que tu pars mal. Il ne s'agit pas de faire une théorie de l'histoire comme science, ou une théorie de la liberté par rapport au détermisme ou à la contingence, mais de penser ensemble histoire et liberté, dans un balancement qui va de l'un à l'autre. Très prosaïquement, il s'agit de savoir si oui ou non l'homme est capable d'éviter les erreurs du passé et de tirer des leçons de celui-ci. Ce qui implique de se demander comment fonctionne la liberté. Qu'est-ce qui la met en branle ? La raison ? Dans ce cas, la connaissance objective du passé peut l'aider à mieux s'exercer (mais qu'est-ce que ça signifie : la liberté a des degrés ? Comment la liberté peut-elle avoir plus ou moins d'efficience ? Est-ce que le fait de se poser ces questions ne détruit pas l'idée même de liberté ? Que serait une liberté qui ne serait pas d'emblée pleine ? ). Est-ce au contraire d'autres motifs qui l'incitent, comme la passion que ne peut raisonner la raison (voir Hume, Traité de la nature humaine, livre sur les passions) ? Dans ce cas, à quoi peut lui servir l'expérience des hommes transmise par l'histoire comme récit et science des événements du passé ? Des questions simples, donc, au départ, pour trouver le nerf, c'est-à-dire la problématique.
Chez Schopenhauer, il y a un texte très intéressant, je te le glisse au passage : Essai sur le libre arbitre, Ed. Rivages poche, où il explique que le caractère de l'homme est fixé une fois pour toute et qu'il lui est impossible de ne pas avoir agi comme il l'a fait et que si c'était à refaire, même s'il déplore son acte, il referait la même chose, voici qui est un indice pour toi... ;) La devise, en quelque sorte, de ce grand homme qu'il appliquait à l'état du monde était eadem sed aliter, c'est-à-dire la même chose mais différemment...
Avant de disserter, il faut que tu trouves une problématique, que tu ne peux trouver qu'après avoir analysé le libellé en détail ; j'ai l'impression que tu es parti pour plaquer des connaissances, ce qui est très mauvais pour toi.
Trouve une problématique, une question qui va permettre d'articuler la réflexion, qui est comme le point d'intersection de tous les problèmes qui surgissent de la liberté au contact de l'histoire, et soumets-la moi et je te dirai, du mieux que je peux, si c'est bon ou pas. Pour l'instant, tu es mal parti. Si je ne te donnes pas moi-même de problématique, c'est parce que ma démarche serait anti-philosophique, non pour t'embêter. Il faut penser par soi-même, mais je serais ravie de t'aider, dans ces limites, si je le peux.
Je te joins le lien où tu peux trouver le texte de Schopenhauer :
http://gallica.bnf.fr/scripts/Consultat ... ?O=N076800
Surtout ne badigeonne pas avec des références multiples. Ce qui compte est ta pensée, même si elle s'appuie sur celle des grands philosophes.
Quel sens donnes-tu à analogie ? Je ne suis pas sûre de te suivre... :pensif:
N'oublie qu'il te faut répondre dans la conclusion par oui ou par non, de manière très explicite...
En résumé :
1) définis simplement mais précisément tous les termes du sujet ;
2) construis une problématique qui lie les deux morceaux du libellé "connaissance de l'histoire" et "mieux exercer sa liberté" ; l'écueil serait de penser les éléments individuellement ;
3) un plan qui restitue ta réflexion avec des étapes bien marquées et qui relance le problème d'une partie à l'autre ;
4) une vraie conclusion, qui résume la réflexion et la dépasse.
Bon courage ! Et donne-moi des nouvelles de ton travail ! :)
"La vraie philosophie de l'histoire revient à voir que sous tous ces changements infinis, et au milieu de tout ce chaos, on n'a jamais devant soi que le même être, identique et immuable, occupé aujourd'hui des mêmes intrigues qu'hier et que de tout temps: elle doit donc reconnaître le fond identique de tous ces faits anciens ou modernes, survenus en Orient comme en Occident ; elle doit découvrir partout la même humanité, en dépit de la diversité des circonstances, des costumes et des mœurs. Cet élément identique, et qui persiste à travers tous les changements, est fourni par les qualités premières du cœur et de l'esprit humains -beaucoup de mauvaises et peu de bonnes. La devise générale de l'histoire devrait être : Eadem, sed aliter. Celui qui a lu Hérodote a étudié assez l'histoire pour en faire la philosophie; car il y trouve déjà tout ce qui constitue l'histoire postérieure du monde : agitations, actions, souffrances et destinée de la race humaine, telles qu'elles ressortent des qualités en question et du sort de toute vie sur terre."
SCHOPENHAUER, Le monde comme volonté et comme représentation

[/i]
Zeff
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Message par Zeff »

Merci beaucoup Sally :-D ! En fait mon problème avec les dissert, c'est que j'ai du mal a dégager la problématique et à organiser les éléments du cours ^^ (tu t'en es rendue compte :roll: )!
Sally a écrit :Si je ne te donnes pas moi-même de problématique, c'est parce que ma démarche serait anti-philosophique, non pour t'embêter.Il faut penser par soi-même, mais je serais ravie de t'aider, dans ces limites, si je le peux.
:-D Tout à fait d'accord, et j'avais justement peur que tu ne comprenne que je te demandais cette problématique^^! Je dois rendre ma copie mardi, je te tiens au courant!
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Message par Sally »

Zeff a écrit :Merci beaucoup Sally :-D ! En fait mon problème avec les dissert, c'est que j'ai du mal a dégager la problématique et à organiser les éléments du cours ^^ (tu t'en es rendue compte :roll: )!
Sally a écrit :Si je ne te donnes pas moi-même de problématique, c'est parce que ma démarche serait anti-philosophique, non pour t'embêter.Il faut penser par soi-même, mais je serais ravie de t'aider, dans ces limites, si je le peux.
:-D Tout à fait d'accord, et j'avais justement peur que tu ne comprenne que je te demandais cette problématique^^! Je dois rendre ma copie mardi, je te tiens au courant!
La problématique, c'est le plus difficile, ensuite, c'est des vacances !
En fait, je crois que si regardes bien ce que je t'ai écrit, tu vas en trouver une. On sait qu'elle est bonne quand elle permet de balayer tous les aspects du sujet. Je pense que tu vas réussir ! Bon courage ! :)
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Message par Zeff »

Voilà en exclusivité le produit d'une heure de philosophie intensive! J'en suis pas très fier, c'est vraiment que l'ébauche du brouillon du premier jet d'une réflexion digne de ce nom! Mais j'ai promis de te tenir au courant,Sally, alors...
La connaissance historique objective, grâce aux exemples fournis par les grands événements passés permet de nous aider à exercer pleinementnotre liberté, c'est à dire notre capacité de jugement. mais, parce que les situations passées ne peuvent être totalement analogues à celles du présent, ce comportement ne fourni qu'une illusion de liberté. L'étude globale du devenir historique vise à définir le sens rationnel de l'histoire, pour ainsi nous permet de mieux appréhender le présent en composant avec le dynamisme passé.
Si ça te fait rigoler, je me vexerais pas ^^!

PS: J'ai essayé de faire avec mon cours, et j'ai pas encore examiner en détail ton post... Alors je crois que le machin que j'ai écrit (c'est même pas une problématique ^^!) correspond pas trop aux idées que tu a subtilement exprimée ^^...
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Problématique, où es-tu ?

Message par Sally »

Merci d'avoir pensé à me tenir au courant !:)
Je viens d'avoir ton message, après un long et savoureux week-end de cinéphilie ! ;) :mrgreen:
Je ne vois pas pourquoi, je rigolerai, tu sais. Ce n'est pas mon genre et je ne trouverai pas cette attitude très philosophique, justement... ;) Et puis qui suis-je pour agir aussi bêtement ? ;) Je ne suis pas un crack, donc...
Bon, il n'y a pas de problématique, ça tu en est conscient. Ton propos n'est ni conceptualisé ni clairement établi ; je t'explique pourquoi :
La connaissance historique objective, grâce aux exemples fournis par les grands événements passés permet de nous aider à exercer pleinementnotre liberté, c'est à dire notre capacité de jugement. mais, parce que les situations passées ne peuvent être totalement analogues à celles du présent, ce comportement ne fourni qu'une illusion de liberté. L'étude globale du devenir historique vise à définir le sens rationnel de l'histoire, pour ainsi nous permet de mieux appréhender le présent en composant avec le dynamisme passé.
Tu affirmes des choses (soulignées en rouge), tu assimiles des notions (soulignées en bleu), sans démontrer la validité ou non de ces choses. Et, le plus grave, il n'y a pas de problématique. Il faut que tu discutes avec toi-même dans une dissertation, avec arguments et contre-arguments, à partir d'un nerf, la problématique. Sans cette dernière, inutile de faire semblant, de cacher son absence, tu ne peux rien faire, pas penser "pour de vrai". Elle se présente sous la forme d'une question cruciale.

Voici ce que je te propose comme ébauche de problématique (qu'il te faut affiner toi-même), pour te donner un exemple de la manière dont tu peux commencer à réfléchir sur le sujet, sinon je parle dans le vide et ça n'aide pas (tu as vingt façons de poser une problématique, et plus) ; disons que c'est un brouillon d'intro, dans laquelle doit IMPERATIVEMENT se trouver la problématique :

A l’évidence, la vie des hommes ne semble pas se conformer à cette maxime inscrite au fronton d’un tableau de Titien : « Tirant la leçon du passé, le présent agit avec prudence pour ne pas compromettre l’action future » (Allégorie du Temps gouverné par la Prudence). Bien au contraire, une simple observation superficielle des comportements des êtres humains, à travers le temps, pourrait plutôt opposer – à tort ou à raison ? - aux théories ou aux opinions qui affirment que l’homme sait « tirer les leçons » de l’histoire, de l’expérience, du vécu, la formule - peut-être moins pessimiste que aiguë et lucide - de Schopenhauer : Eadem sed aliter. L’histoire, conçue comme science des événements passés, tendrait sûrement à confirmer cette observation.
Donner exemple d'une erreur de l'homme répétée dans l'histoire - distinguer deux sens d'histoire, la science des faits passés et ces faits passés eux-mêmes qui n'existent que par la première, mais qui la constituent... ;)

« Tirer les leçons » du passé, qui est peut-être l’action à laquelle nous engage la connaissance de l’histoire, revient à soumettre le présent en train de se construire, ou plus exactement le futur, à des schèmes du passé, qui ont montré leur efficience ou leur inefficience. C’est une manière d’envisager ses actes et ses décisions de manière prudente
La prudence est un terme à définir.
que de les soumettre à l’analogie, à la comparaison ; mais c’est implicitement admettre, si tant est que cette analogie ou comparaison soit légitime, que l’on puisse retrouver des éléments qui perdurent, que l’homme d’hier ait des points communs avec celui d’aujourd’hui, et que les choix qui se présentent à lui soient les mêmes, ou peu s’en faut, que ceux qu’il a dû affronter hier. C’est paradoxalement, et avec une certaine perversité dans le raisonnement, montrer, in fine, que l’évolution est très certainement irréalisable - car l'homme a accès à cette connaissance historique depuis des siècles et, si elle pouvait avoir une influence, celle-ci se serait déjà produite, et on ne pourrait mettre en parallèle l’homme du passé et celui du présent - tout en la souhaitant ou en l’envisageant comme possible.
En effet, si l’homme était capable de « mieux exercer » sa liberté par la connaissance et la compréhension des faits passés, dans leurs mécanismes, dans leur surgissement, dans leurs conséquences, les effets sur sa capacité à user de sa liberté ne seraient-ils pas déjà perceptibles (l’homme ne commettrait pas les mêmes erreurs ; il saurait, par exemple, éviter les conflits meurtriers et, au contraire, reproduire les conditions de ses éventuels succès) ? Or, que nous enseigne l’histoire, sinon que tout est un éternel recommencement ? Mais, déjà, en affirmant ceci, nous admettons implicitement que le meilleur usage que l’homme puisse faire de sa liberté est de progresser dans la paix, dans un équilibre du monde, dans une stabilité de rapports entre les hommes, vers un certain bonheur individuel et collectif ou une harmonie entre les moyens et les fins des sujets. Est-ce si évident que mieux exercer sa liberté corresponde à cet état espéré du monde et des hommes ?
Nous admettons aussi implicitement une définition de l’histoire, qui serait une science capable d’énoncer des lois, à l’instar de la physique qui énonce les lois de la chute des corps. Pourtant, si l’histoire, par son exigence de vérité dans le récit des faits passés, se rapproche de la science, elle n’est « qu’ »une science humaine… et n’énonce donc que des faits, quand la science énonce les lois qui président à l’existence de ces faits. L’histoire, si elle est capable d’être bénéfice à l’exercice de la liberté, ne le peut que par la valeur des exemples qu’elle nous livre, ce qui implique qu’il nous faille nous identifier aux hommes du passé. Et si cette projection est réalisable, elle implique que nous sommes, nous, hommes du présent ou du futur, identiques à nos aïeuls ou nos ancêtres.
Si les hommes sont condamnés à ne jamais évoluer, à ne jamais s’améliorer, à ne point apprendre de leurs erreurs comme de leurs réussites, est-ce à dire que leur liberté est, une fois pour toute, grevée par une impossibilité inhérente à la nature de l’homme ? Si, oui de quel type est cette impossibilité ?
Le libellé du sujet contient un présupposé, celui selon laquelle la liberté (mais de quelle liberté s’agit-il ? liberté d’action, liberté de volonté ou libre-arbitre – auquel beaucoup de philosophes ne croient pas - , ou liberté de la raison ? ) est perfectible qualitativement (« mieux exercer ») par l’influence de la raison, aussi bien théorique que pratique (ce qui constitue un début de définition de la notion de prudence). Or, la liberté n’est-elle pas par essence ce qui doit échapper à toute contrainte et qui s’exprime de manière plénière, ne pouvant connaître de degrés ? Envisager la liberté selon des critères de qualité ou de quantité n’est-ce pas commettre un crime de lèse-majesté à son égard, ou bien est-ce devenir conscient du fait que la liberté est
plus ou moins
(quantité)
déterminée par la connaissance que nous avons de nos motifs et donc s’exerce plus ou moins bien
(qualité)
selon notre ignorance ou notre connaissance ? (Cf. Spinoza, Ethique II, scolie de la proposition 35 : « Les hommes se trompent en ce qu’ils se croient libres et cette opinion consiste en cela seul qu’ils ont conscience de leurs actions et sont ignorants des causes par où ils sont déterminés. »)
La deuxième partie de cette alternative nous incite à concevoir la problématique inhérente au libellé en cause sous la forme d’un paradoxe quelque peu troublant : si l’existence de la liberté de la volonté (libre arbitre) semble être infirmée par l’histoire comme récit du même (les mêmes motifs engendrent les mêmes choix et des situations identiques), et n’exerce donc aucune influence positive (qualitative) sur nos actes, ne laissant entrevoir aucune amélioration possible, est-il envisageable que cette connaissance exemplaire puisse, néanmoins, augmenter la liberté de notre raison, en tant qu’elle nous montre la manière dont nous sommes déterminés et limités dans nos choix ? Cette reconnaissance de nos motifs, librement acceptés comme nécessaires, peut-elle alors, à partir de ce niveau supérieur de compréhension de la liberté, nous aider à mieux exercer notre liberté et, si tel est le cas, comment, si ce n’est pas en acte ?

Sinon, je te conseille - cela t'aidera tout au long de l'année et ce n'est pas un investissement en vain - un livre de Jacqueline Russ, qui explique comment bâtir une problématique et disserter de manière claire et simple : Les méthodes en philosophie, Ed. Armand Colin. Il vaut vraiment le coup, fais-moi confiance ! Je te recommande aussi le Dictionnaire philosophique d'André Comte-Sponville, Ed. P.U.F. : plus simple et précis, tu meurs ! :-D Tu verras comment on définit des notions. Ces ouvrages sont parfaitement adaptés à ton niveau, et même à ceux qui sont plus avancés. Je m'en sers encore quand j'ai un problème ! ;) [-)
Voilà, en espérant que ce fatras mal écrit t'apportera un peu de lumière... Ne recopie pas tel quel, c'est juste des pistes ! :eek:
Bonne chance et bon courage. Tiens-moi au courant, si tu en as envie. ;) (*)
Modifié en dernier par Sally le lun. 02 févr. 2004, 18:12, modifié 1 fois.
Sally
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Message par Sally »

Je me suis un peu emmêlée avec les balises couleur... :'(
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Teagan
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Message par Teagan »

Sally a écrit :Je me suis un peu emmêlée avec les balises couleur... :'(
Ca arrive à tout le monde, au moins t'as essayé :mrgreen:
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Message par Sally »

Tu ne te moquerais pas de moi, par hasard... ? :blee: :p :mrgreen:
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Message par Zeff »

Voilà... Ca y est, j'ai rendu mon devoir :hum: ! merci beaucoup pour tes conseils Sally, qui m'ont été très utiles! Mais je n'ai pas pu - hélas, trois fois hélas! - prendre connaissance de ton post rose (lol c'est choupi :-D ) avant de rédiger ma dissert! J'ai donc dû essayer de me dépatouiller avec mes (humbles) connaissances et tes (érudits) conseils... J'ai donc construit mon devoir sur une variation de ce que j'ai déjà écrit, pas vraiment différente mais plus fine... Enfin on verra bien ce que ça donnera! Dès que mon prof me rend ma copie, jte dirai ma note et je te retranscrirai mon intro (bin ouai, je détrui mes brouillon à chaque fin de dissert... une sorte de catharsis ^^)! Merci encore Sally!
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Message par Sally »

Je te souhaite bonne chance ! :)
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Teagan
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Message par Teagan »

Sally a écrit :Tu ne te moquerais pas de moi, par hasard... ? :blee: :p :mrgreen:
Non, pour une fois :mrgreen:
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bowman
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Message par bowman »

je propose de donner au mois 100 points a Sally pour le long post kelle a eu le courage d'écrire (moi meme j'ai eu la flemme de le lire) mais c super sympa d'aider les autres comme sa .
Zeff
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Message par Zeff »

:eek: C'est vrai ça! Au fait Sally, j'avait oublié mais j'ai eu 9 sur 20 à ma dissert :roll: ... Je m'y suis pris trop tard pour prendre totalement en compte tes précieux conseils (que j'ai scrupuleusement lu ^^)...
Sinon, connaît tu la position philosophique de Sartre à propos du langage (au sens d'invention de mot pour la nomination des choses, des sentiments )? (c'est juste de la curisosité, là ^^!)
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Message par Sally »

bowman a écrit :je propose de donner au mois 100 points a Sally pour le long post kelle a eu le courage d'écrire (moi meme j'ai eu la flemme de le lire) mais c super sympa d'aider les autres comme sa .
C'est gentil ! ;) Mais ma démarche est égoïste, si l'on y songe... Tant qu'on aime faire quelque chose, ça ne compte pas ! ^^
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