Critique de la presse

Discussion autour du film La Boussole d'Or. Attentes, discussions et avis sur le film de New Line. Tout ce qui est dérivé du film a sa place ici.

Modérateur : Régents

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donygator
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Critique de la presse

Message par donygator »

Une petite centralisation des critique de la presse:
le figaroscope a écrit :Chris Weitz a fait le pari à la fois inconscient et audacieux d'adapter À la croisée des mondes, premier volet de la complexe et passionnante trilogie fantastique de l'écrivain britannique Philip Pullman. Le cinéaste qui a débuté sa carrière par un péché de jeunesse, American Pie, réussit à nous plonger dès les premières images dans l'univers chimérique de Pullman. La courageuse Lyra, au cours de son long et dangereux voyage initiatique, qui lui permettra de passer à l'âge adulte, rencontrera des créatures fabuleuses, des personnages extraordinaires. Des gitans grands navigateurs, une reine sorcière bienveillante qui lui révèle son destin, un ours guerrier en armure et des « dæmons » de toutes sortes. Si au coeur de ce premier volet, Chris Weitz évoque la terrible dictature du Magisterium et la notion du libre arbitre, il élude les thèmes essentiels du roman, les pouvoirs néfastes d'une Église obscurantiste ou la remise en question des mythes chrétiens. Reste un film d'aventure palpitant, parfois terrifiant, interprété par des acteurs ravis de ce voyage plein de rebondissements.
a voir a lire.com a écrit :Premier volet ultra-coûteux (un budget avoisinant les 200 millions de dollars) d’une trilogie qui ne se concrétisera qu’en cas de succès, La boussole d’or est un pari fou. L’adaptation du succès littéraire britannique de Philip Pullman, Les Royaumes du Nord - His dark materials en version originale. Un gros risque pour New Line déjà à l’origine du triomphe en trois parties du Seigneur des anneaux, mais la période de l’année (à laquelle d’autres best-sellers avaient fait leur premiers pas cinématographiques comme Harry Potter ou Narnia) est propice à l’indulgence des jeunes spectateurs et de leurs parents, et puis la promo est gargantuesque. Donc, a priori, tous les espoirs sont permis pour ce blockbuster calibré pour illuminer le monde de ses splendeurs polaires. Pourtant l’enthousiasme en sortant de la salle n’est pas au rendez-vous et la déception pointe déjà à l’horizon.
En effet, si cette production n’est nullement honteuse - elle foisonne d’effets spéciaux effarants, de décors féeriques merveilleux comme un pôle Nord teinté d’onirisme, royaume d’imposants ours blancs plus vrais que nature et champ de bataille burtonien marqué par un ballet aérien de sorcières - il lui manque l’essentiel. De l’incarnation.
Trop occupé à soigner les clichés, le réalisateur Chris Weitz (American pie !!!) emprunte à Narnia, Harry Potter, au Seigneur des anneaux et à Jules Verne, et livre un objet illustratif, diaporama de vignettes étonnantes, dans lequel il est difficile néanmoins de pénétrer. Son travail, appréciable, se suit sans déplaisir, mais sans jamais investir le spectateur qui reste toujours aux portes de cet univers de fantaisie mille fois décrit, mille fois fantasmé, et déjà sublimé géographiquement parlant par la poésie d’Happy feet, qui sortait il y a un an exactement. L’accent anglais des jeunes protagonistes ; la figure brave de l’ours polaire, sorte d’Aslan du grand froid débarrassé de tout habillage religieux ; le combat final conjuguant les forces de sorcières, de loups, de pirates et de gitans... Du déjà-vu. Au final, rien ne nous captive au-delà de la simple beauté des images, qui est indéniable au milieu de ce lieu commun du conte épique.
La faiblesse narrative est d’autant plus perceptible que le récit fait parfois dans l’économie d’explications et se permet, pour ne pas dépasser la durée canonique des deux heures, d’emprunter des raccourcis un peu expéditifs. Pis, il tarde aussi à se mettre en place et l’on se surprend à s’ennuyer un peu dans sa première partie moins rocambolesque. Si l’on ajoute à cette liste de "petits" défauts une certaine frustration d’adulte provenant du caractère enfantin du casting (beaucoup de mômes à la base de l’histoire qui éclipsent les quelques stars adultes sous-employées dans ce premier volet (Kidman, sans expression, semble figée quand elle apparaît, et Daniel Craig paraît déjà préparer le prochain James Bond entre ses rares et très courtes apparitions), l’on se retrouve face à une déception, belle et classieuse, aux allures de carte postale du grand Nord envoyé par un petit cousin lointain.
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Message par donygator »

ouest fance a écrit :«Il existe un monde où les sorcières règnent sur les cieux, où les ours sont les plus braves des guerriers, et où les humains sont indissociablement liés à un esprit animal...» Ben pardi. C'est dit comme ça en toute simplicité en début de récit, et l'entrée en matière est un peu abrupte. Encore que littérature et cinéma ont fait bon ménage ces dernières saisons en prenant le sillage du Seigneur des anneaux ou de Narnia, sans parler de Harry Potter ou Eragon, pour nous embarquer dans des mondes où tout est possible par la magie de l'imaginaire, de l'insolite et du fantastique.

Cette nouvelle épopée, première livraison d'une trilogie qui occupera les écrans pour les mois de décembre à venir, est l'adaptation d'une saga écrite par Philip Pullman il y a une dizaine d'années. Un best-seller planétaire pour un film qui entend devenir un champion du box-office. En « résumé », le périple de la jeune Lyra, une orpheline de 12 ans vivant à Oxford aux côtés de son daemon, un être capable de prendre de nombreuses formes animales. Ayant hérité d'un aléthiomètre, c'est la boussole d'or du titre, un instrument ayant la particularité de répondre aux questions les plus inimaginables, elle prend la tête d'une croisade contre un système de trafic d'enfants mis en place par une organisation gouvernementale. A ses côtés, le peuple des gitans, une sorcière, un aéronaute texan et un ours blanc en armure.

Larguez tout ce qui ressemble à du plausible, du cohérent, de la logique. Et vous embarquerez peu à peu dans cet univers insolite que les effets spéciaux rendent enchanté et féérique. Alimenté par quelques considérations très générales sur la solidarité, l'obéissance, l'écologie, le libre arbitre, l'autorité ou la connaissance, le scénario livre des réflexions très consensuelles pour agrémenter son lot de rebondissements spectaculaires, à l'image d'une furieuse bataille entre ours blancs. La petite Dakota Blue Richards, élue parmi plus de 10 000 candidates en Grande-Bretagne pour incarner Lyra, affiche une présence crâneuse auprès de têtes d'affiche huppées, genre Nicole Kidman en créature maléfique, Eva Green fée bienfaitrice ou Daniel Craig son courageux tonton. Ils semblent quand même avoir été sollicités pour le ronflant de l'affiche plus que pour la consistante de leur rôle. Reste à attendre de voir ce que l'avenir leur réserve dans des prochaines livraisons annoncées de façon un peu raide dans la dernière scène dialoguée. Genre la suite au prochain numéro.
Mcinema.com a écrit :C'était couru d'avance. En s'incarnant sur grand écran, le foisonnant roman pour enfants de Philip Pullman allait perdre beaucoup de sa chair. Et c'est effectivement le cas. Nombre de finesses d'histoires et de troubles de personnages ont été littéralement moulinés. Malgré tout, l'univers mis en place par le romancier britannique est, à la base, d'une telle richesse, que même drastiquement amaigri, il parvient à charmer encore. Et cela, on le doit avant tout à Chris Weitz. Car si le co-créateur d'AMERICAN PIE et réalisateur de POUR UN GARCON n'avait jamais tellement marqué pour son sens de l'image, il semble ici passionné par la création visuelle. Et avec le monde rétro-futuriste british et nordique des aventures de la petite Lyra à la recherche de la Poussière, il s'en donne à cœur joie. Si bien que la BOUSSOLE D'OR passe rapidement pour un palpitant livre d'images.
LE POUVOIR DES IMAGES
Les costumes, les décors, les grands plans de mise en places des espaces, des peuples… Chris Weitz a eu les moyens et le talent de faire vivre le monde de Lyra. Reste que ce grand livre d'images offre un paradoxe étrange. D'un côté, l'utilisation intense de l'imagerie numérique et des effets spéciaux (pas toujours très convaincants, notamment dans les inserts sur fond vert), si elle est tout à fait de son époque, donne au long métrage un aspect désincarné qui tient le spectateur à distance. De l'autre, en donnant vie, notamment aux fascinants et nobles ours en armure, elle offre l'occasion au réalisateur de signer des morceaux de bravoure qui tiennent en haleine, à l’image de la meilleure séquence du film : le combat de Iorek contre Ragnar. Or, malgré ce pas claudiquant, LA BOUSSOLE D'OR avance quand même et remplit de manière efficace si ce n'est inoubliable, la mission de tout premier volet d'une trilogie: donner envie de voir la suite.
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Message par donygator »

L'humanité a écrit :Pelucheland. Les aventures d’une petite fille au pôle Nord, à la poursuite de sadiques kidnappeurs. Le mélange de fantastique et d’archaïsme est devenu le genre le plus prisé des adolescents. Voilà donc, après Harry Potter qui a ouvert le bal, et les nombreux suiveurs qui se sont engouffrés dans la brèche, le premier volet d’une nouvelle série adaptée de romans à succès de Philip Pullman. À la réalisation, Chris Weitz, qui a fait ses débuts aux côtés de son frère aîné Paul avec la comédie potache American Pie. Ici, le cadet est aux commandes de cette barque bourrée d’effets spéciaux qui laissent froid, comme le sujet. Ça débute à la Harry Potter, dans une université néogothique très british et se poursuit dans un univers plus rude, évoquant un Seigneur des anneaux nordique. Peu de personnages marquants, en dehors de la méchante incarnée par une Nicole Kidman au comble de la sophistication. Le reste sent les produits dérivés de circonstance (animaux en peluche figurés par les vaillants ours polaires et les charmants « daemons » (démons), bestioles familières à métamorphoses). Le blockbuster de Noël.
Telerama a écrit :La trilogie du Britannique Philip Pullman, A la croisée des mondes, parue à l'aube des années 2000, peut être considérée comme ce qui s'est écrit de plus ambitieux depuis longtemps dans la « fantasy », genre littéraire qui représente des mondes parallèles. Hélas, c'est avec un académisme compassé que Chris Weitz (Pour un garçon) adapte cette fresque pleine d'inventions splendides (comme les « daemons », ces incarnations animales des âmes des humains) et qui traite de thèmes aussi « sérieux » que le dogmatisme religieux.

Dans ce premier volet, le réalisateur se contente d'émailler d'effets spéciaux glacés une mise en scène statique qui ne donne qu'une faible idée du souffle et de la cruauté des aventures de Lyra, la jeune orpheline qui découvre le libre-arbitre. Le montage à la hache trahit la difficulté à restituer en moins de deux heures l'intégralité du premier tome, Les Royaumes du Nord. Et le casting premium semble réduit à réciter les dialogues lourdement explicatifs. Même Nicole Kidman ne fascine qu'à moitié en beauté torturée au service de l'ordre en place. Elle semble à peine plus réelle que son « daemon », un singe doré et muet.
Le Monde a écrit :Réalisé par Chris Weitz, à qui l'on doit entre autres le teen movie American Pie, le film est adapté d'un roman de Philip Pullman. Ce qui frappe, particulièrement, c'est la manière dont il recycle sans complexe certains des éléments les plus caractéristiques des sagas précédentes, et trahit de la sorte son avidité commerciale envers le public pré-adolescent qui y était attaché. L'histoire prend ainsi racine, comme celle de Harry Potter, dans un collège anglais, où les personnages ont la spécificité d'être indissociable de leur "daemon", un animal de compagnie qui parle, comme ceux de Narnia. Alors que le Magisterium, l'organe politique dirigeant, asservit la population en la maintenant dans l'ignorance, Lord Asriel, l'oncle de Lyra (ici incarné par Daniel Craig, le nouveau James Bond), entreprend une mission en Arctique pour étudier un mystérieux phénomène, la "poussière", qui recèlerait le secret de l'existence.

Téméraire et curieuse de tout, Lyra veut elle aussi partir vers le grand Nord, à la fois pour comprendre la nature mystérieuse de cette poussière, dont les adultes lui interdisent systématiquement de parler, et pour sauver son ami Roger qui y a été emmené de force. On comprend vite que Lyra est l'enfant élue d'une prophétie, ce qui lui vaut, entre autres, de savoir utiliser une boussole d'or qui délivre la vérité. Celle-ci s'embarque alors dans un périple qui se déroule comme une succession d'épreuves de jeu vidéo, et dont elle se sort, bien entendu, haut la main. Elle lutte contre des êtres maléfiques, et en particulier contre Madame Coulter, une femme de pouvoir perverse bien gauchement interprétée par Nicole Kidman. D'autres volent à son secours, que ce soit le peuple des Gitans, le grand ours blanc, ou encore une belle sorcière qui semble tout droit sortie du Seigneur des Anneaux (Eva Green, la dernière James Bond Girl). Mais qu'ils soient bons ou méchants, ces personnages se présentent ici comme de pures conventions. Aucun effort n'est fait pour leur donner une quelconque épaisseur, une dimension un tant soit peu attachante.

Dans la dernière scène, Lyra explique au jeune Roger, qu'elle vient de sauver, qu'il leur reste encore du pain sur la planche, et égrène par le menu le programme du prochain épisode. Cette idée si peu délicate d'intégrer un teaser à l'intérieur même du scénario est sans doute le moment le plus drôle du film.
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Message par Haku »

Ayant à cette heure plus de 80 critiques web du film issues de journaux internationaux, je publierai prochainement la liste complétée de celles qui se sont ajoutées à celle-ci pendant mon week-end d'absence. Les critiques vont du pire au meilleur.
Je propose ça sous peu ^^
Merci en tout cas pour ces avis.
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Message par Haku »

Je n'avais jamais publié cette liste des critiques du film et du jeu vidéo.... Certains liens sont sûrement HS.
Quant à moi, depuis ma critique décousue il y a deux ans je me montre toujours aussi frustré par le film, surtout qu'il n'est pas le film que l'on devait avoir (lire "le film qui a été tourné"). Mais bon.


Pour les liens vers les articles parlant du film (en vue d'une future page, comme c'était fait pr le théâtre ?) Ce sujet sert juste de dépot en attendant que l'on voit ce qu'on fait.

USA/UK/Anglophone
The Bottom Line
The Telegraph
BTTS
HDM.org
The Sun
Times Online
The Guardian
Reuters
Fox News
Daily Mail
Evening Standard
Emmanuel Levy
Time out
Hollywood reporter
IESB.net
Variety
chud.com
The List
Times Online - 2 (4 étoiles/5)
Scotland on Sunday
News of the WorldScotland on Sunday
Thepeople.co.uk
elitestv
Newsblaze
cinemablend
flickdirect
NBC
Greensboring.com
Blog Critics
IGN
Daily Mail
The Canadian Press
Gazette and herald
eadt.co.uk
weeklydig
realmovienews.com
LATime
AHN
Metrowestdailynews
EntertainmentWeekly
nctimes
starpulse.com
indyweek
sfgate.com
NPR.org
New York Times
E!Online
The Sun
zap2it
NJ.com
nydailynews.com
toledoblade.com
journallive.co.uk
baltimoresun
RTE.ie (Irlande)
DVDTalk.com
mansized.co.uk
inthenews.co.uk
living.scotsman.com
ohio.com
cnn
Boston Globe
Newsday.com
madison.com
newsdurhamregion.com
seattlepi.com
dailycamera.com
rottentomatoes
online.wsj.com
mlive.com
TimesOnline (2)
csmonitor.com
LA Times (autre)
San Jose Mercury News
Baltimore Sun
LivePDX.com
Sunday Herald
dailycardinal.com
dvdtown
vaildaily.com
pennlive.com
411mania.com
moviehole.net
hackneygazette
statehornet
desicritics.org
Manchesterconfidential.co.uk
thedaedbolt.com
The Huffington Post
Mccook Gazette
Gather.com (10/10)
clarionledger.com
thebulletin.us
newstalk650
Seattle Post
Empire (1e mag de ciné britannique : 8.5/10)
Variety
Blogcritics
politicalaffairs.net
New Zeland Herald
sfreporter.com
Baltic Times
silverchips.mbhs.edu
Santa Maria Times
Journalreview.com
Daily Princetonian.com
newsreview.com
newsreview.com (2)
antrim Times
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Sydney Morning Herald
Syndey Morning Herald (2)
Daily Telegraph Australia
Bayoubuzz.com
Green Bay Press Gazette
Sunday Gazette Mail
7 Days (Emirats Arabes Unis)
Canberra News (Australie)
Livemint.com (Inde)
Courier Mail Australie
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