par Haku » mar. 17 nov. 2009, 22:42
Déterrage de sujet dans les règles de l'art (29 mois)!
J'ai donc lu Le Comte Karlstein, mes fonctions sur Citt m'obligeant à avaler les oeuvres secondaires de Phil (Pullman) pour être incollable.
Le Comte Karlstein, en quelques mots, raconte l'histoire de Hildi, qui vit chez le comte évoqué dans le titre et s'occupe de deux jeunes fillettes, jusqu'au jour où... Jusqu'au jour où elle surprend une conversation du Comte qui parle de sacrifier les deux demoiselles pour respecter un pacte passé avec Zamiel, le Diable chasseur. Évidemment, les choses ne vont pas se dérouler comme prévues, et au milieu de cette contrée suisse vont débarquer ou s'agiter un comédien/bandit plein de ressources, des dizaines d'amateurs venus se frotter à un célèbre concours de tir, des amoureux éperdus - lui gaffeur, elle cul-cul, un prisonnier malgré lui, une institutrice rondouillarde, un policier "à la bonne tête de vainqueur", un diable chasseur (donc), des domestiques détestables, une cuisinière débordée, etc, etc...
C'est... gentil, dira-t-on. C'est très simple dans l'écriture, mais ça bouge de tous les côtés. On retrouve les situations grand-guignolesques de l'épouvantail et son valet et l'ambiance vaguement "qui fait peur" de la Mécanique du Diable. C'est vivant, ça remue mais ça reste très simpliste niveau littérature - on s'adresse clairement aux enfants. Néanmoins le roman s'est basé sur une pièce de théâtre écrite par Pullman alors enseignant, ce qui laisse imaginer un spectacle assez folklo sur les planches, et laisse enfin curieux quant à l'adaptation que pourrait nous en faire un Henri Sellick inspiré...
Déterrage de sujet dans les règles de l'art (29 mois)!
J'ai donc lu [i]Le Comte Karlstein[/i], mes fonctions sur Citt m'obligeant à avaler les oeuvres secondaires de Phil (Pullman) pour être incollable.
[i]Le Comte Karlstein[/i], en quelques mots, raconte l'histoire de Hildi, qui vit chez le comte évoqué dans le titre et s'occupe de deux jeunes fillettes, jusqu'au jour où... Jusqu'au jour où elle surprend une conversation du Comte qui parle de sacrifier les deux demoiselles pour respecter un pacte passé avec Zamiel, le Diable chasseur. Évidemment, les choses ne vont pas se dérouler comme prévues, et au milieu de cette contrée suisse vont débarquer ou s'agiter un comédien/bandit plein de ressources, des dizaines d'amateurs venus se frotter à un célèbre concours de tir, des amoureux éperdus - lui gaffeur, elle cul-cul, un prisonnier malgré lui, une institutrice rondouillarde, un policier "à la bonne tête de vainqueur", un diable chasseur (donc), des domestiques détestables, une cuisinière débordée, etc, etc...
C'est... gentil, dira-t-on. C'est très simple dans l'écriture, mais ça bouge de tous les côtés. On retrouve les situations grand-guignolesques de [i]l'épouvantail et son valet[/i] et l'ambiance vaguement "qui fait peur" de [i]la Mécanique du Diable[/i]. C'est vivant, ça remue mais ça reste très simpliste niveau littérature - on s'adresse clairement aux enfants. Néanmoins le roman s'est basé sur une pièce de théâtre écrite par Pullman alors enseignant, ce qui laisse imaginer un spectacle assez folklo sur les planches, et laisse enfin curieux quant à l'adaptation que pourrait nous en faire un Henri Sellick inspiré...